David Yarrow, Mohan, 2022

« Les premiers investisseurs en tirent profit : les ventes de David Yarrow reposent sur une méthode de tarification par paliers. En tant qu’éditions limitées, cette tarification signifie que le prix d’une image augmente à mesure que l’édition se rapproche de l’épuisement. Cet élément est déterminant lorsqu’il s’agit d’investir dans l’œuvre de David Yarrow, car les investisseurs obtiennent des rendements plus élevés s’ils acquièrent une pièce tôt. » - James Kerbey, Expert chez Maddox Advisory

Pourquoi investir dans la photographie d’art de David Yarrow ?
Premiers succès et moments iconiques
David Yarrow, né à Glasgow, en Écosse, en 1966, s’est lancé très jeune dans la photographie. À 20 ans, il se retrouva à immortaliser des instants historiques comme photographe pour le London Times lors de la finale de la Coupe du monde de football à Mexico. Son image célèbre de Diego Maradona brandissant la Coupe du monde le propulsa sur le devant de la scène et lui ouvrit les portes pour couvrir les Jeux olympiques ainsi que divers événements sportifs.

Évolution vers la photographie d’art
Au fil des années, David Yarrow est devenu un photographe d’art reconnu, façonnant sa carrière en documentant le monde naturel sous des angles uniques. Les neuf dernières années ont été déterminantes pour son parcours artistique, marquant un tournant significatif dans son approche de la photographie. Voici le lien vers son site internet, riche en aperçus fascinants sur son univers créatif.

Distinction artistique et reconnaissance mondiale
La photographie évocatrice et immersive de David, centrée sur la vie sur Terre, lui a forgé une identité artistique singulière. Présent dans de nombreuses galeries et musées de premier plan en Europe et en Amérique du Nord, il est considéré comme l’un des photographes d’art les plus vendus au monde. Ses œuvres en édition limitée atteignent régulièrement des prix élevés dans des maisons de ventes prestigieuses, telles que Sotheby’s.

Influence dans l’industrie et engagements philanthropiques
Reconnue dans le secteur, l’œuvre de David Yarrow lui a valu divers rôles de conseiller et d’ambassadeur. Qu’il s’agisse de missions pour des organismes de conservation de la faune, comme WildArk ou The Kevin Richardson Foundation, ou de son rôle d’ambassadeur européen pour Nikon, il a contribué à des événements majeurs du secteur. Son engagement auprès de campagnes et fondations de renom – Berenberg Bank, Best Buddies ou African Community and Conservation Foundation – illustre sa profonde implication philanthropique.

Zone de confort artistique et collaborations créatives
La réputation de David Yarrow comme l’un des photographes les plus vendus au monde tient à sa capacité à saisir le monde animal et humain avec un regard neuf et inventif. Clé de son succès, la fusion de l’art et de la philanthropie l’a conduit à collaborer avec des personnalités de premier plan dans le sport, la mode et Hollywood. Ses partenariats avec Cindy Crawford, Cara Delevingne, Ciara et Russell Wilson, ou encore Alessandra Ambrosio, témoignent de la diversité et de la portée de son œuvre.

Impact caritatif et jalons financiers
Au-delà de ses réussites artistiques, l’engagement philanthropique de David Yarrow a eu un impact considérable : depuis 2019, les ventes de ses œuvres ont permis de reverser plus de 10 millions de dollars à des causes caritatives. Ce modèle unique, qui associe art et engagement social, séduit les collectionneurs tout en servant des causes d’importance, consolidant ainsi sa position dans le monde de l’art.

Expansion artistique et représentation internationale
Les œuvres distinctives de David Yarrow, ces dernières années, ont élargi sa clientèle de collectionneurs et lui ont valu la représentation par certaines des plus grandes galeries contemporaines mondiales. La publication de son troisième ouvrage, Storytelling, chez Rizzoli à l’automne 2022, marque une nouvelle étape dans son cheminement artistique et sa quête de narration visuelle.

À propos de Mohan
David Yarrow a déclaré que photographier le portrait de ce tigre blanc revenait à entreprendre un voyage au cœur d’un conte mythologique, offrant une expérience visuelle sans précédent.

Il a précisé que son objectif était simple : rendre justice à l’animal et mettre particulièrement en valeur ses yeux d’un bleu éclatant. Conscient de la dangerosité extrême de ces tigres, il savait qu’il lui faudrait le meilleur équipement photographique pour couvrir la distance et ne perdre aucun détail.

David savait qu’il lui faudrait plusieurs jours pour trouver l’instant propice à une rencontre en face-à-face. Lorsque le moment arriva enfin, il bénéficia d’une lumière diffuse idéale. Il reconnaît également qu’une telle image n’aurait pas été possible dix ans plus tôt : les performances des appareils photo se sont considérablement améliorées depuis.

Il a aussi mentionné que les tigres blancs sont dépourvus de phéomélanine – pigment qui, normalement, colore leur pelage en orange – en raison d’un gène mutant. Le premier tigreau blanc fut capturé en Inde en 1951 et ramené au palais du Maharaja. Baptisé Mohan, il engendra de nombreux descendants. Tous les tigres blancs vivant aujourd’hui en captivité descendent de Mohan.

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